Il y a des destins, qui se croisent inconnus.
Le charme subtil, sur des fronts gracieux.
Quand le désir, ose à l'angle d'une rue,
Frôler le hasard, divin et mystérieux.
Pour un regard, abusant de vouloir,
Il y a des cœurs, qui perdent la raison.
Quand le bonheur, surgit sur un trottoir,
Et que la joie, ennoblit l'émotion.
Il y a des espoirs, qui se promènent,
Pensifs, sur des lambeaux de plaisir.
Quand l'illusion, souffle son haleine.
Que sa douceur, est un dais de soupir.
Va agile et vif, s'immiscer le sentiment,
Dans un sourire, jusqu'à sa délicatesse.
Et sur les traits, fragiles et innocents,
La passion, déverse ses caresses.
Ainsi, l'amour glisse sur les cœurs,
Un jour, quelque part sur un chemin,
L'inconnu se perd, l'envie demeure.
Et la raison, se jette sur le destin.
Et la raison, se jette sur le destin.