Etre grand, c'est avoir dix-huit ans
Croire que l'on est un homme plus un enfant
Libre à tout moment être indépendant
Décider tout comme bon mais encore innocent
Et fragile pour affronter l'emploi du temps.
Etre grand et avoir dix-huit ans
S’envoler du nid chaud de ses parents
Responsable dans l'acte et la décision
Rêver que tout est beau mais dur est la leçon
Lorsque la réalité dépasse l'imagination.
Etre grand est avoir dix-huit ans
Casser sa tirelire flamber son premier argent
Pour s'offrir un quartier de bon temps
C'est penser à l'avenir sans oublier le présent
Qui fait réfléchir ou laisse indifférent.
Etre grand, c'est avoir dix-huit ans
C'est un âge en fleur un joli printemps
Avec du bonheur, c'est plus rassurant
Folle jeunesse au premier amour
N'oublies pas qu'on a dix-huit ans qu'un jour.
M PIERRON
Copyright © M. Pierron
certificat : 000568365
5 commentaires:
très joliment dit !
on ne se rend pas assez compte l'année de ses 18 ans ...
qu'ils ne seront plus ..
hélas !
révolus..
personnellement, je n'y retournerais pour rien au monde...que d'épines dans le pied et de coups portés au coeur....que d'illusions évaporées et de vérités pleines de douleurs...
viens la vieillesse, avantage de l'age qui porte la sagesse !
Marvelous! Here's a little poem of mine...
She is little.
Her diamond eyes caress her world.
Her world is made of wonders, little time for troubles.
Time is for laughter and love.
Love dances with her delight,
and the music never stops.
She will fill her world with miracles
and give them away with bunches of dandelions.
She is little.
That will change.
Le chemin perdu:
L’automne pleure les feuillages de mon rêve perdu
Des souvenirs vagues d’un lointain amour rompu
Et le vent crie à travers les chemins désertés
Soulevant les vagues folles d’une enfance ratée
Mes souvenirs, me fixent tristement et pleurent
Mon sourire timide qui se faufile, se cache et meurt
Et ma jeunesse telle une branche sévèrement brisée
Je m’enfuis de ses regards tristes, moribonds et glacés
Vers les rêves des autres et leurs vies de bonnes senteurs
Pour trouver la paix, les beaux jours et leurs saveurs
Et l’enfant en moi je l’étouffe, je le bâillonne et je le tue
À jamais, que son âme ne brillera ni pourra être vue
Pour une paisible vieillesse et sa couronne de pâleur
Amère, grise et noire en guise de goût et de couleur.
Wahid ouaid 01/05/2013
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