Je ne fus pas, dans tes années chérubin.
Nos jeux, n'ont pas connu nos partages
Et nos sourires, restés orphelins,
N'ont pas fleuri, les printemps de nos âges.
Mon frère, mon égal altier, de source mère,
Le geste fragile, en intention de douceur,
Au profond de mon âme, tu es venu sincère,
Déposer un jour, tes sentiments sur mon cœur.
Je n'oublierai pas le temps, qui nous a réuni,
Ni les gestes, pas les mots, ni même les murmures.
Toi qui fus mon frère, mon confident, mon ami,
Tu me quittes, au chemin de notre aventure.
Je verse des larmes, essuyées de silence,
Dans ce monde, qui nous a vu vieillir.
Tu laisses, par ton éternelle absence,
Un vide, qui s'accroche à mes souvenirs.
Je vais, par ce sentier, étroit et fleuri,
Où partagé, fut notre dernier horizon.
Je marche, sur la sente de nos vies,
Le pas solitaire, perdu d'abandon.
J'irai, de par le front bas de pensées,
L'esprit d'instants, qui te rappellent
Et jusqu'au bout, de ma destinée,
Tu seras frère mon symbole spirituel.
Je ne fus pas, dans tes années chérubin.
Nos jeux, n'ont pas connu nos partages
Et nos sourires, restés orphelins,
N'ont pas fleuri, les printemps de nos âges.
Mon frère, mon égal altier, de source mère,
Le geste fragile, en intention de douceur,
Au profond de mon âme, tu es venu sincère,
Déposer un jour, tes sentiments sur mon cœur.
Je n'oublierai pas le temps, qui nous a réuni,
Ni les gestes, pas les mots, ni même les murmures.
Toi qui fus mon frère, mon confident, mon ami,
Tu me quittes, au chemin de notre aventure.
Je verse des larmes, essuyées de silence,
Dans ce monde, qui nous a vu vieillir.
Tu laisses, par ton éternelle absence,
Un vide, qui s'accroche à mes souvenirs.
Je vais, par ce sentier, étroit et fleuri,
Où partagé, fut notre dernier horizon.
Je marche, sur la sente de nos vies,
Le pas solitaire, perdu d'abandon.
J'irai, de par le front bas de pensées,
L'esprit d'instants, qui te rappellent
Et jusqu'au bout, de ma destinée,
Tu seras frère mon symbole spirituel.