Puisque tu t'en vas, ton dernier soupir.
Le bruit de ton pas, s'enfuit loin de moi.
Puisque tu t'en vas, sans un mot à dire.
Étouffant de son, l'écho de ta voix.
Parce que je reste là, juste pour souffrir,
Par les larmes, le cœur éloigné de toi .
Puisque tu t'en vas, sans un mot à dire.
Étouffant de son, l'écho de ta voix.
Parce que je reste là, juste pour souffrir,
Par les larmes, le cœur éloigné de toi .
Ils sont immenses, par toute une vie,
Ces instants stériles, désertés d'amour
Et ces départs, que jamais on oublie,
Quand l'exil fuit, sans esprit de retour,
Ces instants stériles, désertés d'amour
Et ces départs, que jamais on oublie,
Quand l'exil fuit, sans esprit de retour,
Laissant sur des sentiments, refroidis,
L'âme fissurée et la peine autour.
L'âme fissurée et la peine autour.
Puisque tu t'en vas, le regard en silence,
Sans te retourner, sur le temps passé.
Puisque tu t'en vas, dans l'indifférence.
Oubliant déjà, que l'on s'est aimé.
Sans te retourner, sur le temps passé.
Puisque tu t'en vas, dans l'indifférence.
Oubliant déjà, que l'on s'est aimé.
J'aurais tant voulu crier ton absence,
Sur les maux, qui nous ont séparé.
Taire le bonheur, ou le laissé choir,
Parce que le rêve est de mauvaise odeur.
Dans son haleine, un fiel de désespoir
Et sur l'écart, qui a déchiré les cœurs,
Va le souvenir, heurter la mémoire,
Laissant froid l'amour, se tordre de douleur.
Parce que le rêve est de mauvaise odeur.
Dans son haleine, un fiel de désespoir
Et sur l'écart, qui a déchiré les cœurs,
Va le souvenir, heurter la mémoire,
Laissant froid l'amour, se tordre de douleur.
M PIERRON