Long râle, affligé de douleurs.
Tandis, que sa plainte ignorée,
S'étouffe, de ces novices vapeurs,
La nature soupire, en terre asphyxiée.
Chaque espace, parait infini,
D'émotions, habillées de mystères,
Telle, une beauté, dans un paradis,
La nature, semble épouser la terre.
Souffle de fièvre, acidulé de mal,
Puisque l'air, en bouffée respire.
Le crachin pollue, le besoin vital,
La nature souffre, de s'enlaidir.
Sous les cieux, un voile émissif,
L'homme baigne, dans l'indifférence,
Sourd, sous les murmures plaintifs,
Et la nature, en sursis, meurt en silence.
3 commentaires:
beau poème sur la nature que nous sommes entrant de polluer et qui réclame de vivre il faut que tout le monde en prenne conscience merci Michel de tes mots
Bravo vos testes sont criards de vérité un cri un SOS
et il me parle car certain de mes poèmes sont eux aussi des cris de révolte et d'alarmes
amicalement
Béa
Bien écrit ton poème sur cette nature qui se meurt lentement
Pourtant Dieu sait si elle essaie de nous faire comprendre
à quel point elle souffre
Prendrons nous conscience suffisamment tôt pour la sauver
et nous sauver par la même
Merci à toi
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