Comme une aurore qui se lève,
De son frais satin de peau,
A ce front gracieux qui s’élève,
Son visage pur est si beau.
De son frais satin de peau,
A ce front gracieux qui s’élève,
Son visage pur est si beau.
A l'ombre, sous ses paupières,
Mi-clos se tait le regard.
Aux yeux influé de lumière,
Ô Dieu, que ses perles sont rares.
Fraternelles, suprêmes voluptés,
Tel ,un confit humble de paire,
A ses lèvres fines alignées,
Le désir, est un point de repère.
Comme une fleur embaumée,
Douce beauté, bannie éphémère
Je respire ton parfum sucré,
Ô Dieu, que cette âme m'est chère.
M PIERRON
Copyright © M. Pierron
certificat : 000568365
2 commentaires:
Un joli poème. Plein de tendresse et d'émerveillement.
poèmes et musique une petite merveille de tendresse , de douceur et d'amour
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