Ô majestueuse, l'invisible me surveille.
Compagne, de mes douceurs inspirées,
Amie fidèle, de mes nuits de veille,
Furtivement, tu nourris mes pensées.
Tu es mon silence, ma prose solitaire.
Ma passion, jusqu'à mes désirs fous.
Mise à nu, de mes rêves imaginaires,
Tu abuses le vers, mes rimes tu joues.
Ma passion, jusqu'à mes désirs fous.
Mise à nu, de mes rêves imaginaires,
Tu abuses le vers, mes rimes tu joues.
Ma reine de mots, aux instants fragiles.
Maîtresse, assise au bord du sentiment,
Voluptueux, ton sein pudique et subtiles,
Se plait, éperdu, sous mon regard d'amant.
Maîtresse, assise au bord du sentiment,
Voluptueux, ton sein pudique et subtiles,
Se plait, éperdu, sous mon regard d'amant.
Ma douce alexandrine, salive poétique,
Ton haleine divine, expire la stance,
Et l'âme, trempée, en nos écrits lyriques,
Se nourrit, de notre douce romance.
Ton haleine divine, expire la stance,
Et l'âme, trempée, en nos écrits lyriques,
Se nourrit, de notre douce romance.
2 commentaires:
toujours aussi beau: aussi sensuel : une belle invitation a l amour; a la douceur des corps ,des sentiments: des caresses: c est beau tout simplement Michel: j ai peu de temps pour venir me nourrir de tes mots: mais c est avec plaisir que je les redécouvre: bisous
Michel toujours aussi beau et encore plus ta muse te donne des ailes les mots sont beaux doux et tendres qu'elle te suit toujours ton amie antoinette
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