Le temps inévitable, s'est jeté sur moi.
Son pli, a creusé la ride, à mon front pâli
Et sa griffe acérée, dont je suis la proie,
A juré ses empruntes, sur mon anatomie.
A juré ses empruntes, sur mon anatomie.
Moisson de vie, en jours qui meurent.
Quand les reflets, outragés du temps,
Giflent, chaque instant, de mes heures,
Le passé gémit, d'être enjambé du présent.
Le pressant me frappe, de minutes infidèles,
M'assomme, par ces coups de secondes.
Infini, la durée silencieuse, me harcèle.
Je noie mes soupirs, au temps qui m'inonde.
M'assomme, par ces coups de secondes.
Infini, la durée silencieuse, me harcèle.
Je noie mes soupirs, au temps qui m'inonde.
Des moments engourdis, qui s'effacent,
Piétinants les ans, écrasants les jours.
L'orgueil du temps, marque ses traces
Et sa morsure amère et son fiel autour.
1 commentaire:
j'aime beaucoup ce texte qui parle du temps qui passe et fatalement de ses outrages
bizz
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