Novembre humide le long du mur de pierre.
Ce lieu de silence parmi les stèles et les croix.
Je vais le pas recueilli sur l'allée du cimetière.
Où nous marchions bien souvent autrefois.
Je vais le pas recueilli sur l'allée du cimetière.
Où nous marchions bien souvent autrefois.
L'âme torturée les bras remplis de fleurs
Humble, je viens dans l'infini de ton repos.
Déposer sur le marbre en brin de douceur
Des chrysanthèmes et une bruyère en pot.
La pensée engloutie dans les souvenirs
Je me rapproche prés de toi maintenant.
Et même si le vide m'a volé ton sourire
Je garde en moi les sentiments d'avant.
Et même si le vide m'a volé ton sourire
Je garde en moi les sentiments d'avant.
Jamais, de ce qui fut nous rien ne revivra
Mais tu es là, tu restes l'ombre de ma vie.
Tu es mon guide le pas de mon pas.
La douce blessure qui me déchire aussi.
Tu es mon guide le pas de mon pas.
La douce blessure qui me déchire aussi.
Je m'éloigne dans l’œil le chagrin amer.
Les bras vides, je t'ai apporté des fleurs.
Ma solitude referme le grand portail de fer
Sur l'espace de ta dernière demeure.
Les bras vides, je t'ai apporté des fleurs.
Ma solitude referme le grand portail de fer
Sur l'espace de ta dernière demeure.

6 commentaires:
C'est un beau poème très émouvant.
Merci Michel.
Amitiés
Chantal
Pouvez-vous vous mettre en rapport avec moi à l'adresse suivante :
labelouette@yahoo.fr
Bonsoir à vous
Superbe est votre déclaration
Impossible que celle ci n'est pas transcendée la terre à l'approche de votre corps, le sien en son esprit
Perceptible à la lecture tout comme le suivi d'un cours métrage
Je vous souhaite le bonsoir Michel.
Très beau poème et beaucoup de douceur aussi !
Très beau et émouvant. Mes amitiés Michel <3
tes mots sont tristes, émouvants remplies de douceur bises Antoinette
Bonsoir
Effectivement il est magnifique Ron poème
Bonne soirée avec douceur.
Bises
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