Il y a des ombres, des lambeaux de jour,
Qui épousent, les pavés des boulevards.
Et le silence, horizontal des faubourgs,
S'opacifie, sous un crachin de brouillard.
S'opacifie, sous un crachin de brouillard.
Je me balade, le pas errant le trottoir.
L'âme ravie, sous le berceau obscure.
Seul, je vais dans l'intimité du soir,
Flâner les lieux, le talon en aventure.
Flâner les lieux, le talon en aventure.
Des clartés, qui vacillent dans la nuit.
Il y a des lumières, sur les avenues.
Rien ne bouge, le bruit s'est endormi,
Sur le nocturne, dans les petites rues.
Rien ne bouge, le bruit s'est endormi,
Sur le nocturne, dans les petites rues.
Je pose le pied, le long des quais déserts.
A l'issue, d'un escalier sur un chemin,
Qui me pousse près du bord de mer,
Sur une plage, recouverte de sable fin.
A l'issue, d'un escalier sur un chemin,
Qui me pousse près du bord de mer,
Sur une plage, recouverte de sable fin.
Il y a des vagues, la mer qui soupire.
Ses flots, qui meurent sur le rivage.
Sur l'onde un chaleureux zéphyr,
Me gave, de son haleine sauvage.
Sur la rade, entre l'eau et le ciel,
Il y a la ville, ses reflets lumineux.
Il y a la mer, ses effets sensoriels.
Et ma promenade, entre les deux.
Il y a la ville, ses reflets lumineux.
Il y a la mer, ses effets sensoriels.
Et ma promenade, entre les deux.
M PIERRON