Ô fragile beauté, j'use à la diviniser.
Mon âme, couve sa sublime jeunesse
Et mon regard subjugué, va se faufiler,
Sous son charme, en suprême caresse.
La jambe faste, à ma vue qui l'a touche.
De ses formes, en maintes rebellions.
Quand le désir, se pose sur ma bouche,
Excelle sur sa lèvre, la douce tentation.
Volupté somptueuse, de geste et d'allure.
Elle vante ses plis, enveloppés de vertus.
Le fruit de l'arrogance dévêt sa nature,
Au plaisir de son cœur mis à nu.
Elle est belle et sous sa tignasse rousse,
Un piquant parfum, m' enivre de joie.
Parce que son silence, m'éclabousse,
De sa tendresse, son amour à la fois.
Festin de bienfaits, dans son jeu féminin.
Vient, se coucher dans l'infinie douceur,
De mes draps de soie, blanc satin,
Entre ma nuit, mes bras, son bonheur
J'aime, l'azur bleu ciel, sous sa paupière.
Si sa bouche m'observe et me demande,
Sa lèvre, me cherche et s'offre tout entière,
A ses doux désirs, mes folies gourmandes.
M PIERRON