La dulcinée s'est vautrée dans la passion
Le cœur serré entre ces deux bras tendus
Et ses chauds désirs prisonniers d'émotions
Ont glissé le sentiment sur sa cuisse dévêtue.
Le cœur serré entre ces deux bras tendus
Et ses chauds désirs prisonniers d'émotions
Ont glissé le sentiment sur sa cuisse dévêtue.
Les mots en paroles ont bercé la tendresse
L'ingénieuse illusion confite d'espérance
A laissé sensuelles ses courbes en délicatesse
Pénétrer l'amour et chevaucher l'innocence.
Émerveillés aux baisers de leurs bouches
Elle était sa maîtresse étendue sur le lit
Il était son amant renversé sur la couche
Ils étaient deux exténuant leurs ébats interdits.
Les esprits suaves emmiellés de plaisir
Délectaient leur festin tendre et fougueux
Lorsque la caresse unissait leurs soupirs
Que l'orgasme éteignait leurs yeux.
Le temps s'arrêtait sur sa fesse vagabonde
Quand l'envie roulait son corps effeuillé
Et l'étreinte dans leurs heures fécondes
Gardait en secret leurs coeurs enlacés.
Et l'étreinte dans leurs heures fécondes
Gardait en secret leurs coeurs enlacés.
Le frisson parcouru sur son pâle sein
Fut l'ivresse d'une extase dernière
Et l'amour flagellé d'un brusque chagrin
Laissait choir leur relation particulière.
M PIERRON