Ô majestueuse, l'invisible me surveille.
Compagne, de mes douceurs inspirées,
Amie fidèle, de mes nuits de veille,
Furtivement, tu nourris mes pensées.
Tu es mon silence, ma prose solitaire.
Ma passion, jusqu'à mes désirs fous.
Mise à nu, de mes rêves imaginaires,
Tu abuses le vers, mes rimes tu joues.
Ma passion, jusqu'à mes désirs fous.
Mise à nu, de mes rêves imaginaires,
Tu abuses le vers, mes rimes tu joues.
Ma reine de mots, aux instants fragiles.
Maîtresse, assise au bord du sentiment,
Voluptueux, ton sein pudique et subtiles,
Se plait, éperdu, sous mon regard d'amant.
Maîtresse, assise au bord du sentiment,
Voluptueux, ton sein pudique et subtiles,
Se plait, éperdu, sous mon regard d'amant.
Ma douce alexandrine, salive poétique,
Ton haleine divine, expire la stance,
Et l'âme, trempée, en nos écrits lyriques,
Se nourrit, de notre douce romance.
Ton haleine divine, expire la stance,
Et l'âme, trempée, en nos écrits lyriques,
Se nourrit, de notre douce romance.